La journée est très similaire à la veille. Nous apprécions ce rythme tranquille et profitons pleinement d’avoir du temps, sans contrainte.
Le fait d’arriver au milieu de notre périple nous fait réaliser à quel point le temps passe vite. Cela nous donne encore plus envie de profiter de ces moments de quiétude et de tranquillité qui sont si rares dans nos vies habituelles. En temps normal, c’est une course permanente, même le week-end. Nous pourrions remplir des journées de 48 heures. C’est probablement un besoin car nous pourrions sans doute limiter les activités que nous faisons et celles des enfants. Nous devons, plus ou moins consciemment, aimer cette pression continue…
Mais cette parenthèse d’un an est, entre autres, faite pour changer notre rythme et nous goûtons pleinement d’avoir le temps d’autant plus en sachant que ce sera éphémère. Nous le ressentons plus en ce moment car nous n’avons pas de contrainte proche qui nous impose de naviguer et nous savons que nous serons sur la Guadeloupe et ses alentours jusqu’à mi-mars. Nous prenons donc le temps de découvrir notre environnement, de contempler, d’apprécier et plus simplement de vivre.
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