lundi 16 janvier 2012

Dès le matin, un p’tit rhum!

La nuit au ponton n’est pas très bonne. Malgré plusieurs essais, l’amarre grince terriblement sur le taquet de Kakao et cela résonne dans la cabine d’Elise où nous nous sommes installés avec Céline pendant que Nadine et Jean-Claude sont sur le bateau. En plus, nos amis les moustiques sont aussi de la partie pour nous empêcher de dormir. A deux heures du matin, je jette l’éponge et vais dormir dans le carré. Etre amarrés au ponton offre la facilité de débarquer à terre, mais nous sommes de plus en plus convaincus par le mouillage!

Après le petit-déjeuner, nous prenons la camionnette pour aller visiter la distillerie Bielle.
Un petit verre de rhum dès dix heures du matin, rien de tel pour bien commencer la journée!


Vous savez tout. A vous de jouer!


Nous allons ensuite voir « Gueule grand gouffre », originalité géologique ayant créé un trou au bord de la falaise nord de Marie-Galante.




C’est impressionnant et nous freinons les envies de plongeon de Julien. Nous allons ensuite admirer, après une petite marche sous le soleil de midi, le point de vue du Cap Coq.

Nous retournons ensuite déjeuner sur le bateau. Julien voit partir un bateau à moteur avec trois moteurs de 300 chevaux. Il demande au pilote à quelle vitesse peut aller un tel bateau et apprend qu’il peut atteindre 76 nœuds, soit 140 kilomètres à l’heure. Les distances ne sont pas les mêmes qu’en voilier…


Nous décidons de retourner mouiller dès ce soir au nord de Marie-Galante. Nous visons l’Anse Canot, qui est réputée assez belle, mais le vent n’est pas très bien orienté et risque de rendre le mouillage rouleur. Nous retournons donc dans la baie de Saint-Louis.
C'est Jean-Claude qui met l'ancre. Il n'a pas intérêt à ce que nous dérapions!


Tout le monde, sauf Elise, s’offre un bon bain autour du bateau.
Heureusement que Mamie est là pour essayer de consoler la miss de ne pas se baigner

Il faut aussi préparer le dîner!





Ensuite, nous pouvons admirer ensemble un magnifique coucher de soleil sur l’archipel des Saintes. Les photographes débutants et confirmés jouent du déclencheur.





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