Tang, aussi bon goût que le fruit…

Céline, Julien et Bertrand vont juste après le petit-déjeuner faire quelques courses rapides pour acheter ce que nous n’avons pas pu prendre la veille car nous étions trop chargés. Ils peuvent constater que les rayons du supermarché sont comme prévu déjà beaucoup moins achalandés que la veille en produits frais. Une trouvaille égaille nos achats : le « tang ». Je ne sais pas si vous avez connu cette poudre de jus d’orange, au goût chimique et très sucré qui a eu du succès dans les années 80. C’est un produit que nous ne trouvons plus en France, mais qui a une place de choix sur les étalages Vénézuéliens ! Le produit s’est diversifié en offrant, en plus du jus d’orange standard, du jus de fruits de la passion, de goyave, de mandarine, de pamplemousse, de tamarin, etc.
Nous en avons acheté quelques sachets pour nous remémorer notre enfance et pour faire partager aux enfants un des plaisirs de nos jeunes années (sur un air de « Tenue de soirée », bien sûr !). C’est toujours aussi chimique, toujours aussi sucré, mais les enfants aiment bien. Comme nous avons du mal à trouver du jus d’orange pour le petit-déjeuner et que nos réserves s’épuisent, cela tombe bien !

Nous partons en milieu de matinée pour Crasqui, à une petite heure de navigation.

La joie des activités...

...de navigation

Nous mouillons face à une immense plage de sable blanc. Nous avons l’impression que les plages des différentes îles Vénézuéliennes rivalisent de finesse et de blancheur. En effet, sur cette plage de Crasqui, nous trouvons un sable qui pris entre ses doigts fait plus penser à de la farine qu’à du sable. 


Dans l’après-midi, je vais repérer avec Elise et Julien la côte au vent de l’île pour voir s’il est possible d’y faire du kite-surf. Malheureusement, la côté est une sorte de digue formée par les coraux morts charriés par les courants. Le kite-surf ne sera pas encore pour tout de suite…

Nous passons la fin d’après-midi dans l’eau au bord de la plage avec les enfants.

Soirée Obelix