mardi 13 décembre 2011

Fort-de-France

Ce matin est bien pluvieux et nous renonçons à attendre une éclaircie pour nous rendre au parking de l’hôtel de mes parents afin de partir ensemble en voiture nous promener. En plus, le moteur de l’annexe a des hoquets inquiétants, qui nous font imaginer le trajet à la rame sous la pluie. Cela tient jusqu’au ponton, mais il faudrait regarder cela de plus près ce soir…


Nous nous rendons sur Fort-de-France, en nous arrêtant au passage à un magasin de micro-informatique. En effet, notre deuxième ordinateur flambant neuf nous a lâchés sur Grenade après une chute dans une bassine d’eau… Par sécurité, nous préférons avoir deux ordinateurs pour être certains de pouvoir récupérer nos mails, stocker nos photos et bien évidemment pour écrire notre blog.



Nous allons ensuite nous garer dans le centre de Fort-de-France et nous dirigeons à pied vers le marché couvert.



Les odeurs épicées nous montent au nez dès l’entrée et nous rappellent notre visite une douzaine d’années auparavant. Nous allons déjeuner dans l’un des petits snacks du marché, dont la cuisine est assez bonne, mais qui valent surtout par le sourire et l’exotisme du langage des patrons. Nous avons droit aux « ma chérie, mon joli, etc. », ainsi qu’à préparer nous même notre ti’punch, comme à la maison!


Nous enchaînons ensuite par la place de la Savane avec la statue de Joséphine dont la tête est manquante et dont le nom gravé dans le marbre est martelé pour le faire disparaître. Les indépendantistes locaux la tiennent pour responsable du rétablissement de l’esclavage.
Vous pouvez admirer le magnifique sourire de l'impératrice Joséphine...

Plantation sur la place de la Savane

Nous terminons par une visite de la bibliothèque Schoelcher, avant de prendre une petite glace.
Cathédrale Saint-Louis

Bibliothèque Schoelcher




Plus tard, je serai cordonnier!


Nous rentrons ensuite rapidement pour éviter les embouteillages de la fin de journée.

Arrivés au bateau, les enfants profitent d’une baignade réclamée depuis quelques jours. Ils sont impatients que nous arrêtions de faire de la voiture et que nous recommencions à naviguer. Ils semblent être devenus de vrais marins qui ne sont à l’aise que sur l’eau!

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