Ce matin, nous nous équipons pour aller marcher un peu dans l’île : pantalon, chaussettes et chaussures.
En effet, il y a beaucoup de cactus et de plantes piquantes. Lors de notre première incursion un peu à l’intérieur des terres, nos tongs nous avaient semblé légères contre tous ces pics.
Cela fait près de trois mois que nous n’avons pas mise une paire de chaussures. Ca serre les pieds ! Nous partons à la recherche des principaux habitants de l’île : des ânes et des iguanes. Nous apercevons au loin trois ânes qui fuient dès qu’ils nous voient.
Nous n’arrivons pas à approcher à moins d’une cinquantaine de mètres d’eux, mais nous voyons un troupeau d’une vingtaine de têtes partir au grand galop. Nous cherchons des iguanes dans les arbustes, mais nous n’en voyons pas un seul. Ils sont trop bien cachés ou ce n’est pas leur coin. Au retour de la ballade, nous allons nous baigner.
Comment fait-on les lacets, déjà? |
En effet, il y a beaucoup de cactus et de plantes piquantes. Lors de notre première incursion un peu à l’intérieur des terres, nos tongs nous avaient semblé légères contre tous ces pics.
Cela fait près de trois mois que nous n’avons pas mise une paire de chaussures. Ca serre les pieds ! Nous partons à la recherche des principaux habitants de l’île : des ânes et des iguanes. Nous apercevons au loin trois ânes qui fuient dès qu’ils nous voient.
Nous n’arrivons pas à approcher à moins d’une cinquantaine de mètres d’eux, mais nous voyons un troupeau d’une vingtaine de têtes partir au grand galop. Nous cherchons des iguanes dans les arbustes, mais nous n’en voyons pas un seul. Ils sont trop bien cachés ou ce n’est pas leur coin. Au retour de la ballade, nous allons nous baigner.
Après le déjeuner, nous partons directement pour une grosse navigation de 116 miles (en ligne directe) jusqu’à l’archipel des Roques. Si tout va bien, nous devrions y être le lendemain matin. Dès que nous nous sommes éloignés de la Blanquilla, la mer se forme un peu avec deux mètres de creux. Le vent est établi entre 20 et 25 nœuds, pile dans notre arrière. Il n’est malheureusement pas possible de faire la route directe car le risque d’empannage serait trop grand. Nous devons donc tirer des bords. Kakao bouge un peu, mais les enfants arrivent à faire la classe.
En fin d’après-midi, nous prenons un ris à la grand voile, cinq tours au génois et changeons de bord pour la nuit. Une fois la nuit tombée, le vent s’établit à 25 nœuds, avec des rafales à 30 nœuds, et la mer se forme un peu plus pour atteindre des creux de trois bon mètres. Kakao danse bien dans les vagues et commence à taper. Les enfants ne semblent pas dérangés et dorment apparemment sereinement.
C’est le noir complet rapidement car un minuscule premier croissant de lune fait son apparition à l’horizon pendant une heure, puis disparaît. Certaines vagues doivent dépasser les quatre mètres car debout au poste de barre qui doit être situé à un bon mètre cinquante au dessus de l’eau, je vois les vagues déferler à quelques mètres derrière moi bien au-dessus du niveau de ma tête. C’est assez impressionnant et stressant car le bateau va vite dans les surfs. Nous atteignons 13,5 nœuds ! C’est comme la foire du Trône, mais avec un ticket spécial pour toute la nuit…
Oh, les beaux ciseaux! |
Ca bouge un peu pour Ann'Julie.... |
En fin d’après-midi, nous prenons un ris à la grand voile, cinq tours au génois et changeons de bord pour la nuit. Une fois la nuit tombée, le vent s’établit à 25 nœuds, avec des rafales à 30 nœuds, et la mer se forme un peu plus pour atteindre des creux de trois bon mètres. Kakao danse bien dans les vagues et commence à taper. Les enfants ne semblent pas dérangés et dorment apparemment sereinement.
C’est le noir complet rapidement car un minuscule premier croissant de lune fait son apparition à l’horizon pendant une heure, puis disparaît. Certaines vagues doivent dépasser les quatre mètres car debout au poste de barre qui doit être situé à un bon mètre cinquante au dessus de l’eau, je vois les vagues déferler à quelques mètres derrière moi bien au-dessus du niveau de ma tête. C’est assez impressionnant et stressant car le bateau va vite dans les surfs. Nous atteignons 13,5 nœuds ! C’est comme la foire du Trône, mais avec un ticket spécial pour toute la nuit…
A un moment, j’entends de forts claquements à l’arrière et sur le côté du bateau. Je prends une lampe et aperçoit alors deux dauphins qui jouent avec le bateau et font des sauts impressionnants. Ils n’ont pas trop l’air trop stressés, eux!
Le vent tombe seulement à partir de 3 heures du matin entre 15 et 20 nœuds, jusqu’au lever du jour.
Oh là là, mais c'est pas pour me rassurer tout ça !!!
RépondreSupprimerJe vais croiser les doigts pour que la mer soit ultra calme les jours où on sera sur le bateau :)
Superbes photos en tout cas ces derniers jours. J'espère qu'on aura la chance de voir des dauphins.
Bises et bonne continuation. Notre billet n'est pas encore trouvé.
Nathalie