Julien, très motivé par la piscine de la marina, termine son travail très rapidement. Elise et Clément ont attrapé une sorte d’impétigo sur les jambes il y a quelques jours et ne peuvent pas se baigner. Leur motivation est donc moins grande pour finir rapidement et la classe traîne un peu pour eux.
Nous attendons qu’un yacht voisin nous invite à son bord pour le déjeuner, mais personne n’en fait rien.
|
Nos nouveaux amis... |
|
Raymond, avec son bateau de pêche... |
|
...Jeannot, qui tient une épicerie à Saint-George's... |
|
...Kakao, qui se fond dans le paysage... |
|
...Simone, avec son voilier Boléro de cent pieds, pour se promener le week-end avec les enfants... |
|
...et enfin Simon qui vient de remplacer le canard de son bain par un petit bateau. |
Tant pis, nous nous vengerons sur le très bon jambon à l’os acheté entier que nous avons trouvé la veille au supermarché.
Dans l’après-midi, nous quittons la marina pour le mouillage à l’entrée de Saint-George’s. Il y a une bonne trentaine de bateaux mouillés et nous trouvons une petite place, juste pour deux bateaux. Nous sommes un peu proches l’un de l’autre, mais cela devrait aller pour la nuit. En fin de soirée, le vent tourne un peu et nous nous retrouvons à dix mètres l’un de l’autre. C’est tout de même très près et je me maudis de ne pas avoir repris le mouillage alors qu’il faisait jour. Je préfère ne pas le faire de nuit, mais je sens que je vais me lever plusieurs fois dans la nuit pour vérifier que nous ne nous approchons pas trop de Kapuera et que les bateaux ne risquent pas de se toucher. En effet, je passe finalement la nuit dans le carré, me réveillant à chaque grain ou bruit suspect pour vérifier les positions respectives de nos bateaux. Les navigations de nuit doivent me manquer et je devais avoir très envie de faire des quarts…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire