Heureux le travailleur français

Toujours à la recherche d’une solution pour être en règles pour aller sur les îles Venezueliennes sans faire la clearance sur le continent, nous nous rendons avec Xavier et Daniel à l’ambassade du Venezuela, située à Saint-George. Nous avons le plaisir d’apprendre qu’il est possible de faire des visas en trois jours, qui devraient nous permettre d’être en règle. C’est une excellente nouvelle qui nous permet de pouvoir aller sereinement sur les Roques et les Aves. Il restera à vérifier que les autorités locales sont bien en phase avec le processus…

Les femmes abandonnent aux hommes les enfants pour aller faire les courses. Nous emmenons les enfants à la plage pour qu’ils puissent se baigner sous la pluie. En effet, l’après-midi est assez pluvieux et nous avons plus l’impression d’un temps breton, avec juste une quinzaine de degrés de différence.

Bertrand, ce ne serait pas ton annexe là-bas? Il va falloir réviser les noeuds de chaise...

Xavier en plein exercice de gonflage de "planche" de body-board Déctahlon

Xavier offre un « fruit punch » à Léa. La barmaid offrira la même chose aux quatre autres enfants. Nous en profitons pour discuter avec elle et découvrir le rythme de travail local. Au début de leur carrière, ils ont droit à deux semaines de congés. Au bout de deux ans, c’est trois, puis assez rapidement quatre semaines annuelles. La barmaid a 23 ans d’ancienneté et a le droit à six semaines de congés. En comparaison, nous ne sommes pas malheureux avec nos RTT…

Pendant que Xavier tracte les enfants sur une planche type bodyboard, je fais la rencontre de deux journalistes anglais effectuant leur premier séjour sur Grenade. Ils sont curieux de découvrir les détails de notre année sabbatique avec les enfants.

Ju en pleine action