Nous partons dès la fin du petit-déjeuner pour rejoindre Bequia, après avoir acheté 3 poissons et 2 langoustes à un pêcheur du coin. En effet, pour l’instant notre pêche ne nous permet pas encore de survivre. Julien arrive tout de même à pêcher à peu près 2 ou 3 petites carangues tous les jours, ce qui sert d’apéritif aux enfants le soir. Céline vide à présent une carangue plus vite que son ombre ! C’est parfois à se demander si elle n’y prend pas plaisir…
L’école se fera pendant la navigation.
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| La meilleure marque de lave-linge : Céline! |
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| Une occupation de navigation : l'origami |
Pendant la traversée, nous avons le plaisir de remonter de la traîne notre première prise : un joli thon d’une cinquantaine de centimètres ! Le seau dans lequel nous l’avons mis se renverse et le thon, en se débattant, nous repeint tout le cockpit de sang ! Céline est ravie de passer à un exercice pratique de « vidage » de poisson d’une taille plus conséquente… Il nous nourrira deux jours.
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| Il est frais mon poisson! |
L’optimisme est de retour sur le fait de pouvoir se nourrir en partie du produit de notre pêche pendant l’année !
belle prise, félicitations, on est bien loin de la dorade vidée du bout des doigts et avec un rictus, voir une grimace sur la table dans ta cuisine, allez, en rentrant tu ouvre ta poissonnerie...lol...bon appetit...Gilles
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