Le coucher ayant été un peu tardif, les enfants ne sont pas très efficaces ce matin. L’école se poursuivra donc aussi en début d’après-midi. Ensuite nous allons sur la plage. Clément commence à mettre sa tête sous l’eau avec son masque ; bientôt l’extase des grands fonds !
Les enfants construisent des châteaux de sable, pendant que les parents refont le monde sur la plage ou dans l’eau.
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La sirène de Tyrell |
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La future entreprise de travaux publics |
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Presque aussi drôle que l'école... |
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Et voilà le travail! |
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Le triste destin de tout château de sable... |
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Pendant ce temps : "Que penses-tu des fluctuations des valeurs boursières..." |
A leur retour sur le bateau, Enzo et Léa pêchent un calmar. Au lieu du traditionnel « bonne nuit », Céline prend alors un cours de vidage de calmar par Xavier. Anne-Sophie étant lancée, elle enchaîne sur la préparation express du calmar et nous le dégustons avec un petit rosé. La vie est dure…
Au moment du second départ, nous voyons une multitude de petits poissons, des pisquettes, s’affoler dans la lumière de la torche. Les enfants dégainent alors leur épuisette et c’est un seau plein qui est pêché des jupes de Kapuera. Une fois de plus, nous apprenons avec Céline les différents moyens de survie des navigateurs : il paraît que cela se mange !
Nous avons tout de même des concurrents à la pêche à la pisquette : des chauves-souris volent en rase-motte en laissant trainer leurs pattes dans l’eau pour attraper ces petits poissons. Céline n’arrivera pas à en inviter une dans sa couchette, comme cela a été le cas à plusieurs reprises sur certaines îles. En effet, nous avons déjà passé deux ou trois nuits en entendant le doux bruit du vol d’une chauve-souris à quelques centimètres au dessus de nos têtes dans notre cabine. Cela n’a pas été nos nuits les plus sereines…
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