Nous partons juste avant
le petit-déjeuner pour essayer d’arriver sur Culebrita pour le déjeuner. Après
avoir tiré deux grands bords à la voile et au moteur pour remonter l’île de
Vieques, nous pouvons enfin arrêter le moteur et faire route grâce à la seule force
du vent. Après plusieurs jours de navigation motorisée, nous apprécions
particulièrement de retrouver les plaisirs de la voile.
Un petit coup de mou sur le Français? |
Nous arrivons dans la belle baie de Culebrita, où deux catamarans et une dizaine de bateaux à moteur sont mouillés.
Les roches qui protègent la baie de Culebrita |
Nous déjeunons, finissons l’école et allons sur la plage. Je vais avec Julien à l’entrée de la baie, où des hauts-fonds font déferler les vagues, pour lui montrer comment surfer avec un kayak.
En fin d’après-midi, Céline
et Clément retournent au bateau en kayak pour rapporter le goûter. Nous rions
avec Julien et Elise car ils ne semblent pas réussir à rejoindre le bateau. Ils
nous apprennent en revenant sur la plage qu’ils suivaient une tortue qui avait
émergé de l’eau à quelques mètres du kayak. A leur arrivée, Julien les arrête
et une vague un peu plus grosse que les autres retourne le kayak. Nous sauvons
les gâteaux du goûter de justesse…
A l’heure des douches, nous
voyons de nouveau une tortue évoluer autour de Kakao. La plage de Culebrita est
un site protégé de reproduction des tortues.
Avant le coucher du
soleil, tous les bateaux qui étaient au mouillage s’en vont, nous laissant
seuls. J’avais lu que l’usage de l’île était prévu seulement de jour. C’est
peut-être le cas pour le mouillage? Nous verrons bien si les autorités locales
viennent nous déloger cette nuit…
Merci pour ces articles, vous m'inspirez. Je pensais partir seul en voyage avec mon voilier, mais pense partir maintenant avec la famille (4 personnes).
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