Nous partons après le
petit-déjeuner pour une courte navigation vers Culebra. Nous mouillons sur
bouée à l’entrée de la baie principale, Ensenada Honda. Après le déjeuner, je
me rends en annexe à l’aéroport pour vérifier s’il y a besoin de faire un
«check-out» pour aller dans les USVI. Le douanier sympathique que nous avions
rencontré à l’aller me confirme que c’est inutile et que je devrai simplement
faire la clearance quand nous partirons des USVI. Après la République
Dominicaine où chaque déplacement devait s’accompagner d’un despatcho ou même
Puerto Rico où il fallait téléphoner pour indiquer sur quelle partie de la côte
nous étions, nous avons une impression de liberté !
Quand le soleil est un peu
descendu du zénith, Céline et les deux grands vont en kayak jusqu’à un
minuscule îlot de la barrière de corail. Ils ont malheureusement oublié leur
drapeau et ne peuvent donc pas y planter leurs couleurs pour annexer cet îlot
qui aurait pu être une base de départ pour de grands conquérants.
Je suis resté sur Kakao
avec Clément, le temps qu’il finisse son travail car il fait un peu de
résistance aujourd’hui… La journée de classe enfin terminée, nous mettons nos
masques et palmes pour rejoindre le reste de la famille. Il y a plus de cent
mètres jusqu’à l’îlot et Clément s’en acquitte sans aucun souci alors qu’il n’a
pas de brassards. Il a vraiment beaucoup progressé et nage a présent sans
aucune difficulté, même si le style n’y est pas encore. Il peut encore avoir
quelques moments de panique quand il pense ne pas être capable d’y arriver mais
c’est la plupart du temps psychologique et il n’a pas de difficulté réelle.
Une fois réunis, nous
montons tous dans le kayak pour nous promener au-dessus des hauts-fonds. Il y a
parfois si peu d’eau que devons pousser au fond avec les pagaies plutôt que de
réellement ramer.
Nous faisons le tour d’une
«maison-bateau» qui ne bouge visiblement pas souvent.
Quand nous demandons en rigolant aux enfants s’ils aimeraient bien habiter dans une telle maison, nous sommes surpris de la ferveur de leur réponse! Ils s’imaginent aujourd’hui facilement habiter sur un bateau et troqueraient sans soucis leur jardin contre un récif. La seule condition que les deux grands poseraient serait sûrement de pouvoir voir régulièrement leurs copains. Du côté des parents, c’est à peu près la même chose. Nous pourrions imaginer vivre sur un bateau, mais à condition d’avoir les moyens de voir régulièrement nos proches. Nous n’avons jamais souffert de la promiscuité due au peu d’espace sur un bateau et il n’y a pas de contrainte que nous avons ressentie au point de rêver avec envie à notre maison (à part parfois le fait d’avoir un lave-linge et un lave-vaisselle…).
Quand nous demandons en rigolant aux enfants s’ils aimeraient bien habiter dans une telle maison, nous sommes surpris de la ferveur de leur réponse! Ils s’imaginent aujourd’hui facilement habiter sur un bateau et troqueraient sans soucis leur jardin contre un récif. La seule condition que les deux grands poseraient serait sûrement de pouvoir voir régulièrement leurs copains. Du côté des parents, c’est à peu près la même chose. Nous pourrions imaginer vivre sur un bateau, mais à condition d’avoir les moyens de voir régulièrement nos proches. Nous n’avons jamais souffert de la promiscuité due au peu d’espace sur un bateau et il n’y a pas de contrainte que nous avons ressentie au point de rêver avec envie à notre maison (à part parfois le fait d’avoir un lave-linge et un lave-vaisselle…).
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