Environ au même endroit
que celui où Ronan avait pêché son barracuda à l’aller, notre ligne de traîne
part. Je remonte un barracuda d’un mètre vingt que nous rejetons, bien entendu,
à l’eau.
C’est la plus grosse prise que nous ayons faite jusqu’à présent et Julien regrette que nous ne l’ayons pas pêchée au sud de la Martinique où le risque de ciguatera est très faible. Il imaginait déjà le goût de ses darnes…
Faites ahhh! |
Nous hésitons à prendre ses dents pour remplacer celle d'Elise; c'est la même taille! |
C’est la plus grosse prise que nous ayons faite jusqu’à présent et Julien regrette que nous ne l’ayons pas pêchée au sud de la Martinique où le risque de ciguatera est très faible. Il imaginait déjà le goût de ses darnes…
Deux heures avant
d’arriver à destination, nous avons la chance d’apercevoir à deux reprises des
dauphins. Ils nous font des sauts hors de l’eau impressionnants! Nous avions
commandé les dauphins pour le séjour de nos amis mais ces derniers sont partis
quelques jours trop tôt…
Cela faisait longtemps que
nous n’avions pas croisé nos amis mammifères marins et ils nous manquaient pour
animer nos navigations.
Nous arrivons dans
l’après-midi à la marina de Punta Cana et allons directement nous détendre et
nous dessaler dans la piscine au bord de la plage. Nous sommes seuls dans la
piscine et ne croisons pas âme qui vive. Les enfants peuvent bien se défouler
après être restés toute la journée sur le bateau.
Le soir, nous profitons de
l’accès Internet pour commencer à organiser notre retour car nous rentrons
mi-juillet en métropole et nous serons S.D.F. pendant quinze jours, jusqu’à ce
que la locataire libère notre maison. Nous serons plus exactement S.D.F.A.P.C.
(Sans Domicile Fixe Avec Plein de Cartons) car nous devrons récupérer les
cartons que nous avons laissés en garde chez ceux qui partent en vacances fin
juillet…
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