Après un bon
petit-déjeuner, nous levons l’ancre. Nous faisons une petite navigation à la
voile, aidés du moteur car nous devons faire tourner le dessalinisateur et
remplir nos réservoirs d’eau. A priori, il est difficile de trouver de l’eau
potable en République Dominicaine et nos réservoirs se vident vite à dix.
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Céline à la barre, détendue... |
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...et Nathalie concentrée! |
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Une belle brochette! |
La navigation est
l’occasion d’un atelier de fabrication de colliers en coquillage.
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Bientôt l'ouverture de l'usine |
Les adultes
doivent refuser certaines propositions sous peine de se retrouver à l’arrivée
aussi équipés que Mister T… Au grand désespoir de Ronan, nous ne pêchons aucun
poisson, même s’il a voulu laisser les lignes presque jusqu’au ponton!
Nous arrivons dans une
très chic marina, Casa de Campo, où il faut parler espagnol car très peu de
personnel parle anglais.
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Notre voisin de ponton plutôt original... |
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L'indispensable moyen de transport de la marina |
Nous rencontrons Philippe Kuntz, loueur de bateau en
République Dominicaine, qui connaît très bien Eric, notre loueur. Il nous donne
quelques conseils sur les mouillages alentour.
La marina est au cœur d’un
immense complexe immobilier dans lequel il faut montrer patte blanche pour
entrer. A la capitainerie, j’ai rempli un document donnant les noms des Lefez
pour qu’ils puissent entrer, mais ils restent bloqués plus d’une demi-heure au
poste de garde car je n’ai pas donné l’identité du chauffeur de taxi…
Ils arrivent enfin à
entrer, et nous pouvons prendre l’apéritif et un repas tous les quinze.
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Petite séance de montée au mât pour les volontaires |
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Julien, descend! Il est l'heure de manger! |
Les
Godon finissent leurs bagages et partent en milieu d’après-midi pour rejoindre
leur hôtel. Nous ne les reverrons pas avant notre retour en métropole.
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Les enfants jouent dans les rues chics de la marina |
En fin de journée, nous
allons tous prendre une douche dans les sanitaires de la marina. De manière
assez surprenante, les douches sont comme à Cap Cana plutôt médiocres par
rapport à ce qu’on pourrait attendre d’un site aussi luxueux. C’est
probablement que l’essentiel des clients sont propriétaires ou locataires de
yachts, ne s’abaissant donc pas à fréquenter les douches communes…
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